Agro Novae a rejoin la fondation d'entreprises ESTIA en 2021. Son fondateur et dirigeant Yves Faure nosu présente la société et les motivations de son engagement pour le développement de l'écosystème ESTIA.
Pouvez vous nous présenter l’activité d’agronovae ?
AGRO’NOVAE INDUSTRIE est une manufacture familiale agroalimentaire créée en 1986 et spécialisée sur la transformation de fruits. Elle fabrique et commercialise sous sa propre marque « COMTES DE PROVENCE » des confitures, compotes, confits et autre desserts de fruits BIO, commercialisés en Grande Distribution Alimentaire en France (où elle est leader de son marché) et à l’Export (sur 27 pays actuellement, pricipalement en Asie Pacifique et en Amérique du Nord)). En 2014, elle a été labellisée par l’Etat « Entreprise du Patrimoine Vivant » en raison de la qualité de ses produits, de son process unique de fabrication représentatif du savoir-faire français de sa gastronomie et de son art de vivre.
Quels sont vos liens avec l’ESTIA dans votre domaine d’activité ?
Les liens avec l’ESTIA se sont créé depuis maintenant trois ans avec l’arrivée de mon fils dans le cycle Ingénieur Industrie du Futur. Bien que venant d’un autre territoire, l’école nous a accueillis « à bras ouverts ». Mon fils s’est engagé non seulement dans ses études, mais aussi dans le vie de l’école et dans celle du Pays Basque sur de multiples activités. L’ESTIA a en outre développé depuis une année une formation spécifique à destination des industries agroalimentaires. C’est un vrai plus, car ces métiers sont particulièrement présents au Pays Basque, mais aussi en plein croissance économique. C’est donc un vraie réponse à un besoin des entreprises, mais aussi un vecteur de croissance pour l’école.
En tant que dirigeant de société qu’est ce qui a motivé votre engagement auprès de la fondation d’entreprises ESTIA ?
J’ai souhaité moi-même participer à cette dynamique en rentrant dans la fondation de l’ESTIA pour y apporter ma connaissance et ma vision de mon industrie agroalimentaire. Je dirais d’abord que l’école le « vaut bien » de part la qualité de son enseignement et de l’accompagnement pédagogique de ses élèves : mais ensuite qu’il est de notre responsabilité de chefs d’entreprises de « donner pour recevoir ». Pour reprendre le salut des marcheurs sur le Chemin de Compostelle profondément ancré au Pays Basque « e ultreia, e suseia » : plus loin, plus haut, cela me semble être un bel objectif pour l’ESTIA et sa fondation !